Coté technique, pas de révolution, mais
un important travail de fond sur chaque partie de la moto. La partie
cycle revendique une rigidité sans faille. La Kawasaki ZX-10RR n’excède
pas 200 kg tous pleins fait ! Les suspensions bien sûres sont réglables
en tout sens et le freinage se dote d’étriers à fixation radiale et de
disque de 300 mm à "marguerite".
À première vue, la
Kawasaki ZX-10RR n’est pas plus grosse qu’une 600. Cette sensation est
encore accentuée à ses commandes. La position de conduite est un peu
plus radicale que celle des nouvelles Honda CBR et Yamaha R1, mais cela
reste encore acceptable comparé à certaines anciennes italiennes.
Lorsqu’on évolue à petite vitesse tout apparaît ferme. La puissance,
elle, est disponible tout de suite et l’on sent rapidement la poussée.
La boîte quand à elle est assez "virile",
tout comme l’embrayage. La première vitesse est vraiment très longue.
La plus grande surprise vient de la facilité avec laquelle on peut
inscrire en virage cette 1000 cm3. Chargée sur l’avant, la moto est un
vrai jouet à manoeuvrer. Les choses changent en revanche avec la
vitesse : avec l’effet de l’accélération, l’avant à tendance à délester
et le guidon à s’alléger. La moto est alors difficile à piloter,
surtout en sortie de virage où elle affiche une tendance à élargir. Sur
certaines départementales bosselées, il est même laborieux de garder la
moto au sol... Mais lorsque la route dessine de grandes courbes, que le
revêtement devient parfait et qu’aucun radar n’est signalé, la belle
Kawa affiche enfin toutes ses qualités. Tenue de route, stabilité,
motricité... La liste serait longue !
Quant au moteur, même en
version 100 ch il s’avère expressif à défaut d’être sensationnel comme
en version libre. La boîte en revanche n’a pas été très convaincante,
en particulier à la descente des vitesses.
un important travail de fond sur chaque partie de la moto. La partie
cycle revendique une rigidité sans faille. La Kawasaki ZX-10RR n’excède
pas 200 kg tous pleins fait ! Les suspensions bien sûres sont réglables
en tout sens et le freinage se dote d’étriers à fixation radiale et de
disque de 300 mm à "marguerite".
À première vue, la
Kawasaki ZX-10RR n’est pas plus grosse qu’une 600. Cette sensation est
encore accentuée à ses commandes. La position de conduite est un peu
plus radicale que celle des nouvelles Honda CBR et Yamaha R1, mais cela
reste encore acceptable comparé à certaines anciennes italiennes.
Lorsqu’on évolue à petite vitesse tout apparaît ferme. La puissance,
elle, est disponible tout de suite et l’on sent rapidement la poussée.
La boîte quand à elle est assez "virile",
tout comme l’embrayage. La première vitesse est vraiment très longue.
La plus grande surprise vient de la facilité avec laquelle on peut
inscrire en virage cette 1000 cm3. Chargée sur l’avant, la moto est un
vrai jouet à manoeuvrer. Les choses changent en revanche avec la
vitesse : avec l’effet de l’accélération, l’avant à tendance à délester
et le guidon à s’alléger. La moto est alors difficile à piloter,
surtout en sortie de virage où elle affiche une tendance à élargir. Sur
certaines départementales bosselées, il est même laborieux de garder la
moto au sol... Mais lorsque la route dessine de grandes courbes, que le
revêtement devient parfait et qu’aucun radar n’est signalé, la belle
Kawa affiche enfin toutes ses qualités. Tenue de route, stabilité,
motricité... La liste serait longue !
Quant au moteur, même en
version 100 ch il s’avère expressif à défaut d’être sensationnel comme
en version libre. La boîte en revanche n’a pas été très convaincante,
en particulier à la descente des vitesses.